Le vide Grenier d’aujourd’hui fut très sympas !! Malgré le froid tranchant nous avons fait des bonnes rencontres avec les jeunes organisateurs d’HUMAN’ISA et, ainsi, discuter de futurs projets avec LES PETITS CŒURS DE CUBA. Nous avons eu l’occasion de partager cette journée avec un de nos partenaire, Nicolas Dupuy et madame Sophie Dupuy de NUTRISHOP 64.
Retrouver une interview des PETITS CŒURS DE CUBA pendant le vide grenier présenter par les organisateurs d’HUMAN’ISA :
Afin d’en connaitre un peu plus, L’association HUMAN’ISA XVII a été créée en 2015 par les cinquante-cinq étudiants de la XVII ème promotion de l’ISA BTP, afin de réaliser un projet de développement collectif solidaire et international répondant aux attentes de populations dans un pays en voie de développement. Les membres de cette XVII ème promotion.
Pour plus d’information, je vous invite à visiter leur site : http://www.humanisa.fr/
http://www.emmanuelmichel.com/index.php
Comme le disent les anciens et comme cela se répète de génération à génération : « la manière de passer la fin de l’année déterminera comment se passera la suivante ». C’est peut-être pour cela que la majorité des cubains prépare la grande fête. Ils la passent ensemble, dansent et partagent leurs meilleurs vœux. Certains font primer l’excès des dépenses mais ce qui doit primer est la joie. Ce sont des moments d’espérance, de désirs de jours meilleurs où les gens souhaitent, ne serait-ce qu’en partie, que la prophétie la plus répétée ici se réalise : santé, argent et amour.
Les plans de fin d’année et tout le cheminement pour arriver au 31, prennent cependant le pas sur tout cela. La maison, par exemple se doit d’être très propre. Ainsi, il est commun de voir toute la famille durant les jours qui précèdent l’évènement, nettoyer tout le foyer en profondeur, peindre et réparer ce qui, durant l’année, ne l’aurait pas été. C’est pour cette raison que le 31 décembre commence bien plus tôt à Cuba. Et tous travaillent pour que ce diner soit le point culminant jusqu’au moment des douze coups de minuit où l’on se souhaite le traditionnel « bonne année ». Le menu de ce repas est typiquement cubain : viande de porc, riz aux haricots noirs (congri) tubercules avec bananes frites, salade et légumes, pour la célébration, du rhum, de la bière bien fraîche et de vin cubain.
La journée commence par la répartition des rôles : ceux qui épluchent, ceux qui préparent le porc, ceux s’occupant du dessert et les autres qui iront au marché chercher les produits frais pour la salade et les tubercules tout récemment arrivés en provenance de la campagne. Durant toute la journée, se mêlent au sein du foyer, musique que l’on entend dans chaque recoin.
A 23 heures 45, la famille se mobilise et le décompte des minutes commence. On réveille ceux qui ne pouvaient plus tenir debout après le diner et on sort les verres . Les Cubains préparent également des bassines d’eau qu’ils balanceront pour nettoyer le passif de l’année passée, cela dans la vieille tradition paysanne qui peut s’observer dans n’importe quel endroit du pays.
Plus que des coutumes familiales, cela descend des mythes et légendes, ce qui est certain, c’est la nécessité d´utiliser ce prétexte pour rapprocher la famille. Il en résulte la priorité sur le plan individuel de faire le point sur le passé. Et surtout… prendre du bon pied les 365 jours à venir.
Ce vendredi 11 novembre, nous avons répondu présent pour un vide grenier en faveur du TELETHON, efficacement organisé par les bénévoles du village d’ARBONNE (64). Malgré un temps relativement froid et pluvieux, nous avons vécu une journée sous le signe non seulement de la chaleur du Biltoki du village, mais aussi de la générosité de ces bénévoles au grand cœur. En effet, notre association humanitaire fut récompensée de ces efforts par des dons matériels divers afin de continuer nos efforts et nos missions. Quelle satisfaction gratifiante de rencontrer autant de magnifiques personnes au mètre carré !! Nous sommes reparties ému et ragaillardie.
Nous tenons à vous dire merci pour l’investissement et la contribution dans notre association. Grâce à vous, nous allons pouvoir offrir à nos jeunes bénéficiaires ce dont ils ont besoin. C’est avec des personnes comme vous que nous pourrons accompagner de plus en plus de personnes et leur permettre de vivre une vie meilleure.
Beaucoup à Cuba ne connaissent pas l’origine de « la fête des morts » ou, comme il est communément connu, Halloween. Cependant, chaque année plus de Cubains sont intéressés par cette tradition anglo-saxonne que, dans l’île, vient de la main de la floraison des bars, des clubs et des palais de gestion privée.
31 Octobre, le jour de cette fête avec des racines celtiques, se profile pour les travailleurs indépendants comme une occasion en or, une entreprise ronde à partir de laquelle ils peuvent attraper non seulement le public habituel, mais aussi le potentiel.
On n’a pas encore atteint le point de visiter le voisin demander des bonbons et psalmodiant l’expression « la bourse ou la vie », ni pour décorer les maisons avec des citrouilles et des chauves-souris des films d’horreur.
La raison de la popularité de l’Halloween n’a pas beaucoup à voir avec l’acte de célébrer en soi, parce que nous savons que Cuba n’a pas besoin de raisons pour cela, mais avec le désir de satisfaire un besoin que nous avions depuis longtemps : rejoindre la « modernité », pour célébrer le « quelque chose » qui apparaît dans tous les films, séries et romans que nous voyons tous les jours à la télévision ou Internet.
LES PETITS COEURS DE CUBA 